Archives de catégorie : Devoir de Mémoire

A la recherche des films oubliés

La mémoire filmique du territoire est faite de vos films!
Alors si vous, vos parents, vos grands-parents avez tourné au cours du XXè siècle à Nyons, Buis-les-Baronnies, Condorcet, Mirabel-aux-Baronnies, Mollans-sur-Ouvèze, Sahune, Saint-Maurice-sur-Eygues, Vinsorbes, Venterol… ou dans les bourgs et hameaux alentours, si vous connaissez des particuliers, associations, clubs, musées, entreprises qui en conservent, si vous pensez à un filmeur invétéré, un collectionneur… aidez nous à réanimer la mémoire de votre territoire!

Retrouvez nous avec vos bobines et cassettes

  • Lundi 18 décembre de 10h à 15h30 à la Maison du Parc à Sahune
  • Mardi 19 et mercredi 20 décembre de 10h à 15h30 à la Grange aux livres de Mollans-sur-Ouvèze

11 Novembre

14-18 Folie meurtrière

14-18


C’était la grande guerre

Ils ont vécu l’enfer


C’était la grande guerre


La folie meurtrière

Par un beau jour d’été


Sous un ciel bleu d’azur


Le clairon a sonné


Pour la grande aventure


Ils partirent faire la guerre


Au nom de la patrie


Ils étaient jeunes et fiers


Et la fleur au fusil



Mais du chemin des dames


Au fort de Douaumont


Ils ont perdu leur âme


Sous le feu des canons


Avec la peur au ventre


Ils chantaient la Madelon


En plein mois de décembre


Quand ils montaient au front



Ils tombaient un à un


Fauchés par la mitraille


De la Marne à Verdun


Au cœur de la bataille


Partout des trous de bombes


Partout des trous d’obus


Comme la fin d’un monde


Qui leur tombait dessus



Ils ont pleuré de joie


Le jour de l’armistice


Quand enfin arriva


La fin de leur supplice


Après un grand silence


Les cloches de la paix


Dans le ciel de France


Se mirent à sonner

14-18


C’était la grande guerre

C’était la der des ders

Mais cette grande guerre


Ne fut pas la dernière

Jacques Hubert FROUGIER

Journée de collecte et sensibilisation à la mémoire filmique – Baronnies provençales

 A la recherche des films oubliés

Ofnibus organise des journées de collecte et de sensibilisation à la mémoire filmique de la Drôme avec le soutien de la DRAC Auvergne Rhône Alpes, en partenariat avec les Archives départementales de la Drôme, la communauté de communes Porte de DrômArdèche, le Ciné Galaure, le Musée de Die et du Diois et le Parc Naturel Régional des Baronnies provençales.

Nous nous intéressons aux films amateurs tournés dans le territoire des baronnies provençales des années 20 à la fin des années 90 notamment.

La mémoire filmique du territoire est faite de vos films!

Alors si vous, vos parents, vos grands-parents avaient tourné au cours du XXè siècle à Nyons, Buis-les-Baronnies, Condorcet, Mirabel-aux-Baronnies, Sahune, Saint-Maurice-sur-Eygues, Vinsobres, Venterol… ou dans les bourgs et hameaux alentours, si vous connaissez des particuliers, associations, clubs, musées, entreprises qui en conservent, si vous pensez à un filmeur invétéré, un collectionneur… aidez nous à réanimer la mémoire de votre territoire!

Vous avez des films et voulez venir nous rencontrer lors des journées de collecte et sensibilisation

mercredi 30 août

 de 14h – 18h

à la maison du Parc à Sahune

contactez nous au 06 08 83 04 67

APPEL à Témoins

Nous possédons de nombreux documents d’archives, y compris des photos anciennes, qui permettent de conserver la mémoire de nos aînés et de notre histoire collective. Nous souhaitons maintenant vous inviter à participer à l’identification des personnes figurant sur ces photos.

En nous aidant à identifier les personnes sur ces photos, vous contribuez à la mise en valeur de notre patrimoine et à la préservation de notre histoire.

Pour cela, nous mettons à votre disposition, dans le Menu (à droite sur votre écran), dans une rubrique APPEL à Témoins, les photos en question, et nous vous remercions d’avance pour votre participation.

Si vous reconnaissez certaines personnes ou des lieux, n’hésitez pas à nous contacter :

lespilles.histoireetpatrimoine@gmail.com

ou : marrydel@orange.fr

Les Pilles et ses Poilus : au profit des actions de l’association

A l’occasion des commémorations du 11 novembre, l’association Les Pilles, Histoire et Patrimoine vous propose un livre qui est le fruit de longues recherches dans les archives aussi bien publiques que privées.

Il est le reflet de multiples prises de contacts pour recueillir les témoignages des anciens des Pilles, descendant(e)s de ces hommes qui ont participé à cette terrible épreuve que fut la première guerre mondiale.

Encore tout récemment nous avons pu mettre un visage sur un des noms inscrits sur notre Monument aux Morts, celui de Alfred Charles GIELLY, tombé le 24 août 1914, inhumé dans la nécropole nationale de Badonwiller.

Ce livre évoque également la vie du village à cette époque. L’Histoire locale rejoignant l’Histoire mondiale, ce livre en éclairant le passé nous montre la voie de tous les possibles.

Pour cette occasion , le prix du livre sera de 17 euros (+ port 3,40).
Vous pouvez vous le procurer auprès de Olivier Barlet – 42 Grande Rue – 26110 Les Pilles.

 

APPEL à Souvenirs !

Vos archives familiales sont une part de l’Histoire

Vous avez vécu aux Pilles entre 1945 et 1968.

Vous  avez gardé des souvenirs plein la tête.

N’hésitez pas à nous les écrire afin de faire connaître la vie au village à cette époque.

Vous pouvez aussi nous faire parvenir des photos, cartes postales, articles de journaux, documents de famille, etc… Ils seront copiés et restitués.

Aidez-nous à conserver une page de l’histoire de notre village. Vous êtes les témoins d’un passé encore proche dont les générations futures ont tant besoin pour se construire car il constitue nos racines.

Nous vous remercions par avance de votre concours à ce travail de mémoire.

Marylène DELMARRE

Présidente de l’association LPHP

Pour tout renseignement s’adresser à

l’Association « Les Pilles, Histoire et Patrimoine »

26 Grande Rue – 26110 LES PILLES

lespilles.histoireetpatrimoine@gmail.com

06 70 09 36 37

Journées du Patrimoine

Les journées du Patrimoine approchent. L’Association Les Pilles, Histoire et Patrimoine, en raison des mesures sanitaires actuelles, oriente ses actions différemment.

Ne laissons pas notre mémoire « masquée » et continuons nos recherches activement.

Vous êtes les témoins d’un passé encore proche dont les générations futures ont tant besoin pour se construire car il constitue nos racines.

Notre association LPHP a choisi la période d’après-guerre à 1968 pour évoquer la vie sociale, économique, culturelle et religieuse aux Pilles.

Tous les souvenirs sont les bienvenus (photos, articles de journaux, documents de famille et publics,…); ils seront copiés et restitués.

Aidez-nous à conserver une page de l’histoire de notre village.

Nous vous remercions par avance pour votre concours à ce travail de mémoire.

Vos archives familiales sont une part de l’Histoire !

Pour tout renseignement s’adresser à

l’Association « Les Pilles, Histoire et Patrimoine »

26 Grande Rue – 26110 LES PILLES

lespilles.histoireetpatrimoine@gmail.com

06 70 09 36 37

Histoire du Poilu de notre Monument

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Le comité d’érection du Monument en 1923 opta pour un pilier commémoratif quadrangulaire en pierre de Chamaret et en maçonnerie et crapier.

Sur les côtés du pilier les plaques en marbre bleu Turquin gravées des noms des disparus et sur le devant l’épitaphe : Les Pilles à ses enfants morts pour la France  1914-1918

Tout autour une grille en fer forgé vient délimiter l’ouvrage, complétée de 4 obus symbole de la guerre exécrée.

Sur la face arrière du monument seront sculptés pour la postérité deux mots auxquels aspirent les Pillois après ce terrible conflit : Pax (Paix), Labor (Travail).

Pour la statue du « Poilu » qui surmonte le pilier, c’est un modèle du sculpteur CAMUS Étienne (1867-1955) qui fut choisi. Né à Monceaux-les-Mines, habitant Toulouse, Étienne Camus réalise pour les Établissements Hector Jacomet de Villedieu, dans le Vaucluse, la statue de « Poilu » que l’on peut voir à Montenay (Mayenne). Ce modèle d’édition en fonte de fer bronzée est sans doute le plus répandu en France, il en a été fabriqué 500 à 600 exemplaires.

Pour Les Pilles le choix fut donc celui du « Poilu » sentinelle, symbole de celui qui veille sur son pays.

D’une taille de 1,60 m, il pèse entre 200 et 220 kilos, « Le Poilu » était vendu 3 500 francs de l’époque.